boulough al maram 3 tomes

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Description

Bulûgh Al-Marâm est un livre béni et bénéfique; bien qu’il ne soit pas très volumineux, il comporte ce qui permet de se dispenser d’ouvrages plus longs, et les savants, passés et contemporains, se sont tournés vers lui.

Ainsi, on ne trouve pas une assise d’un savant sans que Bulûgh Al-Marâm ne figure en tête de la liste des cours; et les étudiants l’ont adopté pour la mémorisation et les discussions scientifiques, en s’en suffisant au détriment d’autres ouvrages semblables. Les gens l’ont accepté et se sont tournés vers lui si bien qu’à toute époque le plus grand nombre en a tiré bénéfice.

Ce livre comporte des qualités éminentes qu’on ne trouve pas ailleurs, parmi celles-ci:

L’auteur a mentionné le degré du hadith, authentique ou faible, si bien que cela dispense l’étudiant de revenir à d’autres ouvrages.
Il s’est contenté de mentionner du hadith le sens visé dans le chapitre, ce qui amène concision et profit.
Si le hadith comporte d’autres formulations apportant un ajout utile au sujet, l’auteur les mentionne de manière concise et claire, et ainsi les différentes formulations se complètent.
L’auteur a extrait les hadiths des recueils connus et des ouvrages de référence, dont les plus connus sont Al-Musnad de l’imam Ahmad, les deux recueils authentiques, et les quatre recueils des Sunan.
Chaque chapitre débute, généralement, par ce qui est rapporté dans les deux recueils authentiques, ou l’un des deux, puis suit ce qui est rapporté par les auteurs des Sunan ou autre, afin que les hadiths authentiques constituent le fondement du chapitre et la base des différentes questions, alors que le reste vient compléter et parfaire.
L’auteur examine les défauts présents dans le hadith et les mentionne.
Si le hadith est étayé par d’autres, l’auteur le mentionne discrètement, et c’est ainsi qu’il est plus utile que d’autres ouvrages d’un volume plus conséquent.
L’auteur a organisé, les différents chapitres et hadiths selon le loupage opéré dans les livres de Fiqh, afin qu’il soit aisé au lecteur de le consulter.
En fin d’ouvrage, l’auteur a rassemblé une bonne sélection de hadiths concernant la bienséance, afin que le lecteur en tire profit dans sa miss pratique des règles et dans son attitude.

En somme, Bulûgh Al Marâm compte parmi les meilleurs livres dans l’exposé des règles religieuses, et il convient aux étudiants en sciences religieuses de le mémoriser, le comprendre; et d’y prêter une grande attention. L’auteur l’a rédigé de manière éloquente, afin que celui qui mémorise se distingue parmi ses semblables, que celui qui débute sur le chemin de la science puisse s’en aider, et que celui qui est plus avancé ne puisse s’en passer; qu’Allah accorde à l’auteur la meilleure des récompenses.

Biographie de Ibn Hajar Al-Asqalani:

Enfance et études

Il est né au Caire en 1372, fils du savant et poète Shafi’i Nur al-Din Ali. Ses deux parents étant morts pendant son enfance, il est devenu, ainsi que sa sœur, Sitt al-Rakb, pupille du frère de la première femme de son père, Zaki al-Din al-Kharrubi qui inscrit Ibn Hajar dans une école coranique alors qu’il n’avait que cinq ans. Il excelle dans ses études, apprenant la sourate Maryam en une seule journée et progressant dans la mémorisation de textes comme le Coran, puis la version abrégée des œuvres d’Ibn al-Hajib sur les fondements du Fiqh. Quand il accompagna al-Kharrubi à La Mecque à l’âge de 12 ans, il était considéré comme capable de diriger les prières du Tarawih au cours du Ramadan. Lorsque son tuteur est décédé en 1386, l’éducation d’Ibn Hajar en Égypte a été confiée à un universitaire versé dans les Hadith, Shams al-Din ibn al-Qattan qui le fit assister aux cours donnés par al-Bulqini ( d. 1404) et Ibn al-Mulaqqin (d. 1402) dans le domaine des Fiqhs Shafi’i et Zayn al-Din al-‘Iraqi (d. 1404) dans le domaine des hadiths, jusqu’à ce qu’il se rende à Damas et Jérusalem étudier sous la direction de Shams al-Din al-Qalqashandi (d. 1407), Badr al-Din al-Balisi (d. 1401) et Fatima bint al-al-Manja Tanukhiyya (d. 1401).

Après une nouvelle visite à La Mecque, à Médine et au Yémen, il est ensuite retourné en Égypte.En 1397, à l’âge de vingt-cinq ans, il épousa Anas Khatun qui était elle-même une experte en hadiths de par les connaissances en ijaza qu’elle détenait de Zayn al-Din al-‘Iraqi.Elle donnait des conférences publiques à des assemblées d’Ouléma auxquelles assistait al-Sakhawi.

Ibn Hajar a été nommé à plusieurs reprises au poste de juge égyptien (Cadi) et est l’auteur de plus de cinquante ouvrages sur les hadiths, de livres d’histoire, de biographies, d’exégèses coraniques (Tafsir), de compilations sur la poésie et la jurisprudence Shafi’i. En 1414 (année 817 de l’hégire), Ibn Hajar s’est attaqué à l’immense tâche de commenter l’œuvre de Sahih Bukhari. Ibn Rajab a commencé à écrire un énorme commentaire sur Sahih Bukhari dans les années 1390 sous le titre de Fath al-Bari, mais n’était parvenu qu’à la section des prières funèbres au moment de sa mort.

Ibn Hajar a décidé de donner à ses propres commentaires le même titre, Fath al-Bari, qui avec le temps est devenu le commentaire le plus réputé de Sahih Bukhari. Quand il le termina, en décembre 1428, une cérémonie a eu lieu près du Caire, à laquelle ont participé les oulémas, les juges et les principales personnalités égyptiennes. Ibn Hajar lut les dernières pages de son travail, après quoi les poètes récitèrent des éloges et de l’or fut distribué. Ce fut selon l’historien Ibn Iyaas, la plus grande célébration de l’époque en Égypte.

Mort de Ibn Hajar

Ibn Hajar est décédé après les prières d’Isha le 2 février 1449 à l’âge de soixante dix-neuf ans. Ses funérailles au Caire ont été suivies par une foule estimée à cinquante mille personnes, dont le sultan et le calife.

Œuvres

Al-Fath’ul Bâri – considéré comme le commentaire le plus important et le plus fiable sur le Jami ‘al-Sahih d’al-Bukhari.
al-Durar al-Kamina – un dictionnaire biographique de personnalités du VIIIe siècle.
Tahdhib al-Tahdhib – une abréviation du Tahdhib al-Kamal, l’encyclopédie des narrateurs de hadith par al-Mizzi.
al-Isaba fi tamyiz al-Sahaba – le dictionnaire biographique des compagnons le plus complet, et largement utilisé.
Bulugh al-min adillat Maram al-ahkam (al-Bulûghul Marâm) – sur le hadith utilisé dans le fiqh Shafi’i.
Taqrib al-TahdhibNata’ij al-Afkar fi Takhrij Ahadith al-Adhkar
Lisan al-Mizan
Talkhis al-Habir fi Takhrij al-Rafi`i al-Kabir
al-Diraya fi Takhrij Ahadith al-Hidaya
Taghliq al-Ta`liq `ala Sahih al-Bukhari
Risala Tadhkirat al-Athar
al-Matalib al-`Aliya bi Zawa’id al-Masanid al-Thamaniya
Nukhbat al-Fikr, accompagné de Nuzhah al-Nathr
al-Nukat ala Kitab ibn al-Salah
al-Qawl al-Musaddad fi Musnad Ahmad
Silsilat al-Dhahab
Ta`rif Ahl al-Taqdis bi Maratib al-Mawsufin bi al-Tadlis

Références

Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé

« Ibn Hajar al-Asqalani »

le travail d’Ibn Rajab a été publié par Dar Ibn al-Jawzi et comportait 7 volumes correspondant seulement aux 12 premières des 77 sections des œuvres complètes de Sahih Bukhari (c’est-à-dire moins d’un 1 / 6 de la totalité de l’ouvrage). On peut seulement imaginer l’ampleur qu’aurait eu ce travail si Ibn Rajab a été en mesure de le mener à son terme.

Quelques themes du tomes 1:

Le Livre de la purification

Les eaux
La pureté de l’eau de mer
La pureté de l’eau
Interdiction d’uriner dans l’eau stagnante puis de s’y laver
Le restant d’eau du bain d’une femme ou d’un homme
La purification du récipient duquel le chien a lapé
Pureté de la chatte et de ce en quoi elle lape
Impureté de l’urine humaine
La bête morte et le sang permis
Lorsqu’une mouche tombe dans la boisson
Toute partie coupée d’un animal vivant est considérée comme cadavre
Les récipients
L’interdiction de manger et boire dans un récipient d’or et d’argent
La peau tannée est pure
Réparer un récipient avec de l’argent est permis
L’impureté et la manière de s’en purifier
La transformation de l’alcool en vinaigre
L’interdiction de consommer de l’âne domestique
La salive des animaux consommables est pure
L’urine du nouveau-né
L’impureté du sang des règles
Concernant les traces de sang des règles
Les ablutions
Les mérites du Siwâk
Les ablutions
L’essuyage de la tête
Le lavage du nez au réveil
Le lavage des mains au réveil
Inspirer l’eau profondément
Passer ses doigts dans la barbe
La quantité d’eau pour les ablutions
L’étendue de la blancheur
Les ablutions majeures et l’état d’impureté majeure
Les quatre occasions des ablutions majeures
Lorsqu’on embrasse l’islam
Le vendredi
La récitation du Coran
La description des ablutions majeures
Les cheveux attachés
L’interdiction de rester à la mosquée
La permission de se laver dans un même récipient
L’eau doit toucher l’ensemble du corps
Les ablutions sèches
La permission d’utiliser ce qui est à la surface de la terre
La description des ablutions sèches
Poser deux fois ses mains sur le sol
Le sol est un moyen de purification
La prière accomplie avec les ablutions sèches est totalement valide
Si on craint d’utiliser l’eau
L’essuyage sur le bandage
La durée de validité des ablutions sèches
Les menstrues
En cas de métrorragies
Les pertes en dehors des règles
Ce qui est interdit à la femme indisposée
Lors du pèlerinage
Les parties licites du corps
Les lochies
…..etc

Le Livre de la prière

Les temps de prière
Les temps de chaque prière
Presser l’accomplissement du Maghrib
Le meilleur temps pour l’accomplissement du Ishâ’
Retarder l’accomplissement du Dhuhr
Prolonger la prière de l’aube
Accomplir au moins une unité de prière avant la fin de son temps
Les moments où l’accomplissement de la prière est réprouvable
La circumambulation et sa prière sont exceptées
Définition du crépuscule
Les deux aubes
La prière au début de son temps d’accomplissement
Pas de prière après celle de l’aube
…..etc

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